Toshiki

Nom et prénom :

Toshiki, pas de nom connu

Sexe :

Masculin

Age :

17 ans

Description :

Toshiki est plutôt grand, sans être gigantesque. Sa carrure paraît impressionante à cause de ses cheveux argentés qu'il aime mettre en batailles. Il aime plutôt porter des habits noirs unis qui ne se remarquent pas beaucoup et n'aime pas en porter de trop voyant. Son visage peut paraître dûr de première vue mais il peut se radoucir en privé. Ses yeux verts sont fins et peuvent mettre mal à l'aise tellement on a l'impression qu'il fouille dans notre esprit. Malgré son attitude discrète, il porte un tatouage en forme de Kamon*, en souvenir d'un homme qu'il doit retrouver, sur le cou. Il aime aussi porter sur lui une montre à gousset en argent avec le même symbole que sur son cou gravé à l'intérieur.

Caractère :

Toshiki reste plutôt discret, presque solitaire et très lunatique, perdant souvent le fil des conversations auxquels il participe activement. Les rares amis qu'il a sont des amis sur lesquels il sait qu'il peut compter. Son attitude plutôt discrète vient du fait qu'il a dû se méfier de tout le monde depuis qu'il est enfant. Ainsi il se conduit plutôt froidement envers ceux qu'ils ne connaît pas encore mais se relâche quand il les connaît un peu mieux. Il n'est pas du genre à se battre pour assurer son territoire, mais plutôt à faire pression pour qu'il abandonne. Il est calme en toute situation et fais preuve au maximum de son intelligence pour regler les problèmes. Quand il se trouve avec ses amis, il fera apparaître son caractère drôle, sociable et amicale qu'il cache d'habitude. Il fera aussi passer les problèmes des autres avant les siens.

Grades :

Pas pour le moment

Affinitées :

Feu

Voix :

Ombre

Pouvoir spécial :

Aucun pour le moment

*Le Kamon est le signe d'un clan japonais

(Je le mets en deux fois pour préparer l'histoire convenablement)

Chapitre I : Une cause honorable

Une guerre, des champs de batailles, de nombreux blessés et d'innombrable morts... C'est dans ce spectacle désolé que commence l'histoire de Toshiki. Ses parents étaient médecin, aidant du mieux qu'ils pouvaient les blessés des champs de batailles. Ils étaient tellement reconnus qu'ils étaient devenus médecins-major, commandant les brancardiers et sauvant de plus en plus de monde. A ce moment-là, Toshiki n'était qu'un enfant de 5 ans. Malgré leur métier qui demande d'être beaucoup présent, les parents de Toshiki lui prêtait beaucoup d'attention. Ils ne voulaient pas que leur fils unique garde comme seul souvenirs les champs de batailles et les cadavres. Ils voulaient lui faire faire des études de médecins de la capitale, mais les choses allaient en décider autrement. Triste chose qu'est le destin, ce n'était qu'au plus fort de leur situations et de leur travail que tout allait basculer. Un jour, Toshiki surpris une de leur conversation avec un Officier.

-Pourquoi ?! Pourquoi nous demandez-vous de partir avec tout les brancardiers ?! Vous ne voulez pas sauver la vie de vos hommes ?!

-Votre devoir est juste d'obéir aux ordres, alors obéissez.

-Mais nous vous demandons simplement la raison de notre départ.

-Soit. Puisque vous voulez tant savoir, je vais vous en révélez la raison : l'attaque de demain n'est qu'un leurre, nous partirons avec le tiers de nos hommes et quand la bataille sera engagée dans la vallée, l'autre partie attaquera à revers et réduira à néant nos adversaires.

-Mais quand les Doryphores seront engagés, ils massacreront tout les hommes qui ont été désignés pour leurres ! Vous n'avez pas le droit de les sacrifier !


-Je vous l'ai déjà dit, votre devoir est seulement d'obéir, pas de discuter les ordres ! Nous appliquerons la diversion, que vous le vouliez ou non ! Maintenant, partez !

Chapitre II : Un espoir déçu

Le lendemain de la discussion, l'Officier appliqua sa stratégie à la lettre en sacrifiant le tiers de ces hommes aux Doryphores. Mais malheureusement, les Doryphores avaient prévus le coup et, l'Officier perdit plus de la moitié de ces hommes, ainsi que sa vie. Dégoûtés par la nature humaines obligeant à la tuerie et aux massacres, les parents de Toshiki partirent pour d'autres horizons, laissant leur métier et partant pour la capitale. Ils espèrent ainsi ne plus à voir toute les abominations de la guerre et s'occupent de plus en plus de Toshiki, qui commence à se lasser d'être enfermer toute la journée et à étudier à domicile. Heureusement, ses parents ont été accepté pour un travail de docteur dans un hôpital de ville. Ils retrouvent ainsi le sourire perdu à la guerre dans la guérison de leur patient et laissent Toshiki sortir pour découvrir la capitale. Mais hélas, ils ont à traiter de plus en plus de patients victimes de vols qui ont mal tournés et de prise d'otages. Prenant compte que la vie ne vaut pas d'être sauvé tant que des gens continuerait à la détruire, ils se suicident et laissent Toshiki seul, à errer dans les rues de la ville qu'il connaît de plus en plus et à échapper au orphelinats qui veulent l'interner. En cultivant la souffrance et la méfiance, Toshiki finit par avoir ses cheveux blancs et ses yeux essayent de cacher sa souffrance.

Chapitre III : Un vent de renouveau

Ainsi, les combats de rues augmentant, Toshiki augmente sa connaissance de la ville et sa méfiance envers le monde. Le temps passe et les gens changent, ou pas. Un orphelinat réussi enfin à l'attraper et il attend que quelqu'un viennent le chercher car les orphelinats de la capitale sont délabrés et les professeurs n'hésitent pas à battre les élèves turbulents. Heureusement, le destin lui vient en aide : une famille qui vient héberger un enfant entre dans l'orphelinat et remarque Toshiki. Mais il ne savait pas encore qu'il venait de tomber dans un trou encore plus profond : ses parents adoptifs sont presque aussi sévère et l'envoie travailler dans des usines pour un salaire misérable qu'il ne touche pas. Alors il cherche une solution, et disparaît pendant des jours entiers, ne revenant que tard dans le soir et provoquant l'impatience de sa famille adoptive. Finalement, elle décide de le faire partir dans un voyage culturel d'un an cachant mal leur volonté de le faire partir, vu qu'il ne travaille plus donc ne rapporte plus rien. Mais Toshiki a entendu parler de ce soi-disant voyage et s'enfuit le plus vite possible. Finalement, il se retrouve dans la même situation de départ. Se disant qu'il ne sert à rien de rester dans une ville comme celle-ci, il part pour un autre pays qu'il n'atteindra jamais. Il finit donc par se perdre et se faire entourer de loups affamés. Il se croît fini mais au moment où un loup l'attaque, une épée lui transperce le ventre et tout les autres finirent par avoir le même destin. Finalement, le sauveur se montre et il va partir quand Toshiki l'interpelle :

-Attendez !! Pouvez-vous me dire votre nom ?

-J'ai depuis longtemps abandonné mon nom.

-Pouvez-vous m'apprendre à me battre comme vous ? S'il vous plaît !

-hmmm...Pourquoi pas ? De toute façon il fallait bien que je prenne un jour un disciple.

-Merci !

Au fil du temps, Toshiki apprit à défier les loups en les attirants par un piège et quand le loup en sortait, un terrible combat s'ensuivait dont Toshiki ne s'en sortait presque jamais indemne. Son maître lui montra comment tuer un ours en visant les jambes quand il se lève. Il lui appris aussi à tirer avec des armes à feu, le combat à l'épée, et la survie en milieu hostiles. Au fur et à mesure, ses réflexes augmentèrent ainsi que sa force. Toshiki apprend aussi à méditer sur ses actions et à faire la différence entre le bien et le mauvais. Ils voyagent de villes en villes, découvrant de nouvelles cultures et de nouveaux peuples. Toshiki a alors 15 ans et il devient de plus en plus fort de jours en jours. Son maître lui ayant tout appris, il partit, le courage lui prenant, vers la capitale. Mais ce voyage lui sera pénible. Il aida de nombreuses personnes en chemin et sa renommé augmentait. Mais il arriva un jour où il apprit qu'on ne peut pas sauver tout le monde et ce, en découvrant une bande de pillards en train de brûler un village. Il essaya de secourir le plus de personnes possibles du feu tout en résistant aux pillards mais ils étaient trop nombreux et ils finirent par avoir raison de lui et l'assommèrent. Quand il se réveilla, il vit qu'il y avait de nombreux morts et il prit la décision d'essayer de sauver le plus de personnes possible, en devenant soldat.

Et hop, premier message officiel sur ton Bg^^

Bien, dans l'ensemble, un Background honorable. Les fautes sont présentes mais plus ou moins limité (même si un coup sur word serait pas mal). Sinon, il y a de bonne idée, une longueur suffisante pour un élève... Mais pas pour un pouvoir.
Sur ce point là, je serais pour ma part intransigeant. Bien sûr, rien ne t'empêche d'apprendre des pouvoirs spéciaux durant le jeu. Les profs se feront une joie de t'en apprendre. Il arrive même que le directeur en personne prenne pour quelques temps un élève avec lui pour lui enseigner des techniques spéciales Mais ce sera dans un avenir non immédiat !

Une fois le passage sur son maître développé, surtout au niveau de l'apprentissage au combat de Toshiki, je te donnerais mon "oui" !

D'accord, je vais développé et augmenté la taille du texte (je tiens à mon pouvoir )

Bon, c'est toujours insuffisant pour un pouvoir spécial dès le départ. D'autant que tu n'en parles même pas dans ton histoire... Je penses que tu peux sérieusement envisager d'apprendre ce genre de pouvoir au cycle 1.
Mais je ne peux pas laisser de côté le règlement. Pas de pouvoir spécial maintenant. Désolé. Ou du moins pour moi.
Et il te faut encore deux refus pour que ce soit officiel

Mais sinon tu as mon "oui"pour devenir cycle 1. Plus que deux acceptations et je pourrais te souhaiter la bienvenue à l'Académie !

D'accord, merci pour ton "oui" mais j'ai une question : Y a-t-il une liste de pouvoir ou peut-on en inventer ?

Merci, je vais regler ces détails tout de suite

Bon... Pas de smiley en RP. J'ai viré ton "sourire", ne le remets pas stp ! Et à l'avenir, évite les pour tout ce qui est Role play. Merci ^^ !

oups, je ne savais pas, désolé ^^"

Bon je donnes mon "oui". Mais je n'acceptes pas le pouvoir.
Plus que deux

Merci